Oiseaux

On le confond souvent avec son cousin le Busard Saint-Martin. On peut les différencier par la taille,
le saint-Martin étant un peu plus grand et plus costaud,
et par quelques différences au niveau du plumage.

La mouette rieuse, une grande habituée de nos rivages !

Quel élégance ! Le plus grand des limicoles qu’on a en France. Il est magnifique avec son long bec et son plumage chamaré.

Cette magnifique oie marine est originaire de Sibérie. Chaque année,
près de 50 000 individus viennent passer sur le basin d’Arcachon
ce qui représente la plus grosse concentration mondiale.

Tout comme la mouette rieuse, le goeland cendré est commun sur tous le littoral français

Ahhh, les mésanges. Ces passereaux colorés, habitués de nos jardins,
nous enchantent par leurs couleurs et leurs chants. La mésange charbonnière, la plus grande de sa famille
est une assidue de nos mangeoires.

Encore une mal-aimée. Beaucoup de légendes font d’elle un oiseau porte malheur.
Mais à y regarder de plus près, mérite-t’elle vraiment cette mauvaise réputation ?

Non ces photos n’ont pas été faites au Brésil, mais à Marseille, en centre-ville…

C’est toujours un plaisir immense de photographier cet immense rapace.
D’abord parcequ’il est imposant et que son vol lent permet de prendre toute l’ampleur de ses dimensions hors-normes,
mais aussi parceque lorsqu’on le rencontre c’est que l’on se trouve la plupart du temps
dans des lieux enchanteurs, au sommet d’une montagne ou dans de magnifiques gorges.

Encore un magnifique limicole ! Décidément, j’aime énormément la famille des limicoles, ça se voit non ?

La cigogne noire est beaucoup moins répandue en France que sa cousine la cigogne blanche. Seulement 70 à 90 couples recensés en 2019. Alors quand j’ai la chance de tomber dessus, mon appareil photo et moi, on est les plus heureux !

J’adore voir planer ce véritable roi du marais au dessus des roseaux lorsqu’il part en chasse.

Ce grand échassier noir et blanc, de la même famille que la spatule, a colonisé une grande partie de la France.
Il faut savoir que l’Ibis sacré, échappé au début des années 90 de parcs zoologiques
dans le Morbihan et le Roussillon, s’est rapidement répandu en France
et est aujourd’hui un vrai danger pour les nichées d’autres oiseaux dont il prédate les oeufs.

Les séances photos sur la colonie de sternes pierregarin sont toujours de grands moments
tellement les comportements de cet oiseau sont variés et intéressants.

Comme sa cousine la sterne pierregarin, la sterne caugek a des moeurs très interessants à observer
, que ce soient les parades nuptiales, le nourrissage, les séances de pêche
. Je prends toujours un plaisir immense à les photographier.

Sans aucun doute le plus beau de nos hérons avec ses teintes rousses/fauves.
Il est plutôt rare chez nous et c’est toujours un bonheur que de tomber sur lui.

La fragilité et l’élégance de l’échasse blanche m’ont toujours attiré. Mais cette fragilité n’est qu’apparrente
car dans la réalité l’echasse blanche est capable, notamment à la période de la reproduction,
d’être très violente avec ses concurrents, se livrant souvent à des combats sans merci.

L’hirondelle la plus courante en France. On la trouve un peu partout.
Son apparente abondance cache néanmoins un déclin particulièrement préoccupant.
La disparition de ses proies (particulierement les insectes) en est malheureusement la cause.

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Il fait partie de la famille des gravelots et a la même taille que le Grand gravelot.
Ses couleurs plus fauves et plus douces tranchent avec son proche cousin.

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La gorgebleue à miroir mâle, dès son retour chez nous au printemps, va consacrer tout son temps
à marquer sont territoire et à attirer la femelle en exposant à sa vue sa belle gorge d’un bleu profond
réhaussée de son miroir blanc et en chantant perchée
sur les plus hautes branches des buissons.

A mon sens un des plus beaux échassiers de France et un des plus communs également.
On le voit partout, à la campagne, aux abords des villes, il est très répandu en France.
Mais pour le photographe qui tentera de l’approcher, c’est mission impossible
car il est très farouche.

On l’appelle aussi Héron bihoreau. Cet échassier est plus petit que son cousin le héron cendré.
on le reconnait notamment à ses yeux rouges qui lui confèrent un regard unique.

Ce magnifique échassier vit sur nos côtes. Grâce à son bec puissant il est capable d’ouvrir les huitres dont il se nourrit. D’où son nom…

Trés commun, il vit partout en France. Cet élégant laridé est visible dans nos ports de pêche, en bord de mer, u dans les chamops lorsqu’ils sont labourés. C’est un opportuniste, peu farouche, il peut vivre au contact de l’homme pour trouver sa nourriture

Très commun en France il anime nos promenades au bord des étangs.

Rare sur nos côtes, le phalarope à bec large est un limicole aquatique qui passe la plupart de son temps en mer et ne vient sur terre que pour la reproduction, dans les pays nordiques.

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Trés rare en France (seulement 50 à 90 couples recencés) on peut croiser ce joli goéland principalement sur le pourtour méditérannéen.

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On le voit partout. Son magnifique plumage noir intense et son bec jaune vif en font un très bel oiseau.

Sa grande taille et son élégance font que la grande aigrette compte parmis les échassiers les plus majestueux de nos marais.

Son petit corps trapu, ses couleurs blanches noires et rosées et son regard procurent à ce petit passereau un physique très attachant, c’est pas pour rien que beaucoup de photographes aiment lui tirer le portrait.

Difficile de ne pas reconnaître le pic épeiche, avec son bec puissant et ses trois couleurs noir, rouge et blanc. Il se distingue facilement dans les forêts où on peut l’entendre tambouriner sur de vieux arbres à des centaines de mètres.

Grâce à ses griffes démesurées et puissantes, elle court sur les troncs, rapide comme l’éclair. Une vraie acrobate cette jolie sitelle !

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La tourterelle des bois est, à mon sens, le plus beau des colombidés présents en Franc.
Malheureusement c’est aussi le plus rare puisque sa population à chuté de 80% en 40 ans.
Elle fait maintenant l’objet d’un plan de protection au niveau national et international.

La plus belle des fauvettes, avec la pitchou, que j’ai eu la chance de photographier dans le sud de la France.
Elle n’est malheureusement pas présente dans mon département.
Son masque noir fait ressortir ses yeux cernés de rouge. Ce petit air de bandit lui va si bien !

Comme son nom l’indique, la sterne naine est la plus petite de sternes.
Cela n’enlève rien à son efficacité quand elle pêche. Rapide comme l’éclair lorsqu’elle plonge,
elle ne laisse aucune chance à ses proies aquatiques.

Cet oiseau de la même famille que les fauvette. Il peut passer des heures à chanter sans s’arrêter
le plus souvent perché à la cime des arbres. Il a la particularité d’imiter bon nombre d’oiseaux
et la multitude de ses chants lui ont valu son nom de polyglotte.

Comme l’hirondelle le milan noir est annonciateur du printemps. En effet, ce rapace est un grand migrateur.
Il revient des régions subsaharienne dès les beaux jours.

Ce grand échassier, tout en placidité et en élégance, s’observe dans le sud de la France.
Au soir, lorsque le soleil commence à décliner, les lumières s’adoucissent.
Sa teinte rosée prend alors toute sa puissance et se marie parfaitement avec les couleurs du ciel.

Ce magnifique échassier, au plumage irisé est un véritable rescapé en France.
Il y a 20 ans, on comptait 14 couples sur le territoire, aujourd’hui, plus de 1800 couples
se sont répartis principalement dans la moitié sud du pays.

Avec ses couleurs très contrastées allant du orange au noir (pour le mâle), le rougequeue noir est un petit petit passereau magnifique.
Et comme il est peu farouche, il est très facile de lui tirer de jolis portraits.

Sûrement le plus commun des rapaces de nos campagnes. Son nom vient du fait que son plumage est extrêmement varié, le dessous du corps et de la tête pouvant varier du blanc au brun, alors que le reste du corps est brun.

Encore un sujet incroyable à observer. Ses combats aériens avec ses congénères ou des rapaces trop curieux,
son masque entourant ses magnifiques yeux d’un jaune profond, font que j’adore ce rapace nocturne.
Pas facile de l’observer car il n’est présent dans ma region que 2 ou 3 mois en hiver et il n’y a que très peu d’individus.

Le Pipit des arbres fait partie de la grande famille des Motacillidés, comme les bergeronnettes. Son nom vient du fait qu’il utilise les arbres pour parader en période de reproduction.

Ce grand pêcheur, qui vit principalement de long des côtes, aime être perché en hauteur. Il n’est pas rare de le voir se sécher les ailes écartées pendant de longues minutes.

Je ne vous ferai pas l’affront de vous expliquer d’où vient son nom. Ce joli passereau, à l’instar des mésanges, adore fréquenter les mangeoires en hiver. Essayez d’en placer une dans votre jardin en hiver, vous le verrez sûrement venir y manger à maintes reprises.

La belle Bergeronnette printanière ressemble beaucoup à sa cousine la Bergeronnette des ruisseaux.
Elle vit dans les milieux marécageux à la campagne.
Elle a le dos verdâtre alors que la Bergeronnette des ruisseaux a le dos gris.

Que dire de la mésange bleue ? À mon sens un des plus jolis passereaux de France.

L’Élanion Blanc (ou blac) est un rapace diurne vraiment magnifique. Son plumage blanc et gris et ses yeux rouges en font un des plus beaux rapaces de France. C’est un vrai régal de l’observer et de le photographier !

La Bergeronnette des ruisseaux, pour se différencier de la Bergeronnette Printanière, a le dos gris. Elle vit comme son nom l’indique au bord des ruisseaux et niche souvent sous les ponts.

Le Traquet motteux est un très joli migrateur de nos régions aux couleurs douces et aux subtiles nuances du plumage.

La très élégante aigrette garzette, d’un blanc immaculé, peut s’observer partout en France et dans le monde entier.
Cet échassier est un redoutable pêcheur avec ses pattes fouilleuses et son bec en forme de dague.

Voilà un rapace diurne d’une extrême beauté avec ses teintes grises légèrement bleutées.

Le rougegorge est un des passereaux les plus répandus de nos jardins. On en voit tellement qu’on n’y prête plus trop attention.
Et pourtant avec sa gorge flamboyante, il mérite qu’on l’admire un peu plus.

La Cisticole des joncs est un oiseau plutôt discret qui vit dans les zones marécageuses plantées de joncs ou de roseaux.
Sa position favorite pour attendre sa future proie est posée sur une tige de roseaux.

Le Tarier pâtre en plumage nuptial propose des couleurs aux contrastes superbes, orange, noir et blanc.
Il peut s’observer un peu partout , dans des prairies, les champs cultivés, les vallées humides
et la lande et se laisse approcher relativement facilement.

Le Faucon crécerelle, plutôt répandu en France se distingue par sa petite taille et par sa technique de chasse en vol stationnaire qu’on appelle le « vol du Saint-esprit ».

Le héron garde-bœufs, appelé également pique-bœufs, est un habitué de nos prairies et pâturages.
C’est le meilleur ami de nos vaches car il passe toute la journée avec elles et se nourrit des insectes qui leur tournent autour.

La cigogne blanche, un de nos grands échassiers, vient se reproduire en France à la fin de l’hiver et repartira vers l’Afrique principalement fin août et septembre.
De plus en plus d’individus ne migrent pas et hivernent désormais en France.
Par bonheur, la cigogne blanche elle fait partie des rares oiseaux en expansion dans notre pays.

La pie-grièche écorcheur tient son nom du fait que la mandibule supérieure de son bec est terminée par une espèce de crochet qui lui permet de dépecer ses proies,
faisant d’elle une sorte de petit rapace en miniature. Pour se nourrir, elle capture insectes et petits rongeurs et se fait un véritable garde-manger.
Elle utilise des épines ou des barbelés pour épingler ses proies et les conserver pour les périodes de disette.

Le Tichodrome, plutôt rare dans ma région, a élu domicile tout près de chez moi.
Il descend chaque début d’hiver des sommets des Pyrénées ou des Alpes vers les vallées pour passer l’été au chaud.
Et parfois comme c’est le cas pour celui-ci, il va même jusqu’à des régions beaucoup plus éloignées de ses montagnes natales.

Un des oiseaux les plus colorés de France. Adepte des perchoirs qui surplombent les cours d’eau, il attend qu’une proie aquatique (petit poisson ou insectes d’eau)

passe à proximité pour lui fondre dessus en un plongeon éclair telle une véritable flèche. C’est un pêcheur hors pair, d’où son nom.

Le cincle plongeur est également appelé merle d’eau à cause de sa ressemblance avec le merle. Même taille, couleur marron avec un plastron blanc.
Il vit à proximité des cours d’eau rapides. Le regarder évoluer et chasser dans son milieu est un véritable plaisir.
En effet, pour se nourrir il plonge sous l’eau et est capable de marcher en immersion complète pour dénicher de petites larves d’insectes aquatiques.

Le guêpier d’Europe fait partie, comme le martin pêcheur, du top 3 des oiseaux les plus colorés de France, un vrai régal pour les yeux.
De la taille d’un gros merle, il est présent en France d’avril à fin août.

Le plus abondant des limicoles le long de nos côtes. Vous ne le verrez jamais seul car c’est un limicole au comportement très grégaire.

L’accenteur mouchet est un oiseau très discret qui vole peu. Il est rare de le voir voler plus haut qu’à 1 m du sol.
C’est un très bel oiseau avec ses dégradés de marrons et sa tête d’un gris-bleu intense.

La reine des buissons, toujours perchée sur des petites branches attendant qu’un insecte passe par là.

Le petit gravelot, comme son nom l’indique est le plus petit des gravelots. Bien plus petit que son cousin le grand gravelot qui est plus grand, en comparaison du petit gravelot qui est plus petit, c’est pourtant pas compliqué !

Un des plus petits échassiers présents en France mais aussi l’un des plus communs.
Il a la particularité d’hocher de la queue presque en permanence.

Le roi de la grimpette. Avec son proche cousin le grimpereau des bois ce sont de vrais acrobates. Il est très difficile de les distinguer car ils se ressemblent vraiment. Le grimpereau des jardins arpente le tronc des arbres, tête en haut ou tête en bas. Rien ne l’arrête pour dénicher les petits insectes cachés sous l’écorce des arbres.

C’est le plus grand des pics que l’on trouve en France. II atteint 50 cm de long.
Et du coup lorsqu’il tape sur son tronc d’arbre, il se faire entendre de loin.

Ce passereau au vol nerveux ne tient pas en place. Compliqué de le prendre en photo.
Il est plutôt de petite taille et a de jolies teintes jaunâtres et vertes olive.

Avec son plumage noir, ses reflets irisés et ses dégradés de gris, ce petit corvidé, adeptes des batiments urbains et anciens est un des plus beaux représentants de cette famille à mon goût.

Les gravelots sont, avec le Bécasseau Sanderling, mes limicoles préférés. Le grand gravelot, avec ses couleurs et son masque caractéristiques me fait craquer à chaque fois que j’ai la chance de le croiser.

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Voilà un oiseau sympa à observer ! Cette petite boule de plumes apparait le plus souvent le matin à l’aube et le soir lorsque le soleil décline.
Avec ses grands yeux ronds et sa petite taille (environ 23 cm) elle est devenue un de mes sujets de photo préférés.

Ce limicole tient son nom du fait qu’il va souvent chercher sa nourriture
sous les cailloux et les petits rochers qu’il soulève avec son bec.
Son plumage nuptial est particulièrement coloré.

Cette grande migratrice que l’on voit passer au dessus de nos têtes 2 fois par an est un des oiseaux les plus grands d’Europe. Elle séduit par son joli plumage avec des dégradés de gris, relevé par un sourcil et son oeil rouges vif. Un oiseau magnifique !

Malheureusement élevée et relâchée dans la nature pour la chasse, la perdrix rouge traine son magnifique masque rouge
et ses couleurs chamarées sur la quasi-totalité du territoire français.

Bravo ! Tu as gagné le titre d’oiseau le moins aimé !! A force de te regouper sur les cimes des platanes des centre-ville
et a piailler à tue-tête, sans parler des fientes sur les capots des voitures…
Tu as tout gagné. Et pourtant quand on prend du recul et qu’on t’observe
en pleine lumière, on s’aperçoit que tu es superbe avec tes reflets nacrés et colorés.

Un magnifique passereau tout en nuances colorées. La teinte rosée toute douce de son ventre contraste avec les couleurs plus tranchées des ailes jaune blanches et noires.

Le geai des chênes est un habitué de nos forêts. Et pourtant on ne le croise pas tant que ça car il est très farouche. J’ai mis pas mal de temps avant de pouvoir l’immortaliser.

Le roi de nos étangs, parcs etc. On le voit tellement partout qu’on en oublie parfois que c’est un très bel oiseau.

Voilà un très bel échassier, avec son bec très spécifique en forme de spatule. Pour se nourrir elle plante son bec impressionnant dans la vase qu’elle fouille en faisant des mouvements de balayage horizontal.

Pas facile à suivre ce bécasseau Sanderling !
ce joli limicole, venu du nord pour passer l’hiver sur notre littoral,
est tout le temps en train de fureter dans le sable à la recherche de nourriture.
L’ingrat ne pense même pas à faire une petite pause pour le photographe.

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